QUELQUES NEWS DE JEAN-JACQUES

 

 

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...Jean-Jacques

est la

personnalité

préféré

des Français

!!!

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13 août 2015  |  Mise à jour le 15 août 2015

Top 50 du JDD : pourquoi Goldman est indétrônable

Pour la cinquième fois consécutive, Jean-Jacques Goldman est en  tête de notre Top 50 des personnalités préférées des Français. La cote du chanteur est même en hausse par rapport à janvier.


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Jean-Jacques Goldman est encore premier dans le coeur des Français. (Sipa)

Cela fait désormais deux ans qu'il marche seul en tête de notre classement. Jean-Jacques Goldman reste la personnalité préférée des Français dans notre nouvelle enquête - la cinquième de suite qui place le chanteur au sommet de ce Top 50. L'homme, qui vit toujours dans la plus grande discrétion à Marseille, était entré directement à la première place en juillet 2013, après dix ans d'absence. Il avait en effet lui-même prié le JDD en 2003 (il était alors 3e derrière l'Abbé Pierre et Zidane) de ne plus être soumis au choix des Français. Le succès de l'album de reprises Génération Goldman, il y a deux ans nous avait convaincu de le réintégrer.

Par rapport au classement de janvier dernier, Goldman est même en progression. Il est choisi par 45,6% des sondés, contre 44,4% il y a sept mois. Il signe ainsi son deuxième meilleur score dans l'histoire du Top 50 et se maintient surtout à un niveau élevé par rapport aux précédents champions (Omar Sy, Yannick Noah, Zinedine Zidane). Clé de cette réussite, le sexagénaire s'attire la bienveillance générale : il séduit aussi bien les hommes que les femmes, les sympathisants de gauche que de droite. Il n'est en retrait que chez les plus jeunes (6e chez les 15-24 ans).

La polémique sur la chanson des Enfoirés n'a pas laissé de trace

L'artiste n'a aucune actualité particulière mais cela ne l'empêche pas d'être plébiscité. Au contraire même, son silence médiatique n'est pas pour déplaire aux Français. "La discrétion est perçue comme une vertu", disait en janvier dernier François Jost, professeur en sciences de l'information et de la communication.

Et pourtant, Jean-Jacques Goldman a connu l'agitation en début d'année avec la chanson des Enfoirés, Toute la vie, évoquant le choc générationnel. Elle avait été accusée d'être "anti-jeunes" et "réactionnaire" - la ministre de la Culture Fleur Pellerin l'avait pour sa part qualifiée de "maladroite". Son auteur avait fini par répondre à la polémique, avec humour, en choisissant Le Petit Journal de Canal +. Il avait au final reçu un large soutien des Français qui, dans un sondage, ne se disaient pas choqués par ces paroles.

Cinq mois plus tard, cet épisode ne laisse aucune trace sur la popularité de Goldman. En plus de son œuvre musicale et de ses plus grands titres, il est apprécié pour sa simplicité et son engagement caritatif à la tête des Enfoirés. Le chouchou des Français a pourtant prévenu qu'il allait "s'effacer petit à petit" de l'organisation de ce spectacle annuel. C'est ce qu'il avait confié début mars dans un reportage sur TF1, en évoquant son souhait de laisser la place aux jeunes. Goldman va se faire encore un peu plus discret.

Arnaud Focraud - leJDD.fr

 

 

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Michael Jones: "Tourner avec Jean-Jacques m'a appris à travailler dans des conditions extrêmes"

Mercredi  29/07/2015 - Amandine Raths

De passage sur la scène Sabam for Culture du Village Francofou, et toujours dans le cadre de sa tournée 40-60, le guitariste gallois aux quarante ans de carrière nous a accueilli dans sa loge le temps d'une interview.

Rencontre avec celui qui traverse actuellement toutes les régions de France, Suisse et Belgique...

Vous êtes souvent de passage en Belgique… Que pensez-vous du public belge?

Ce qui est génial avec le public belge, c’est que c’est un peuple qui sort et qui a le sens de la fête. Quand j’ai vu qu’il pleuvait ce matin, je n’étais même pas inquiet. J’ai des souvenirs de concerts: le doudou à la Mons ou la dernière fois que je suis venu ici, pour les Tributes, il pleuvait et les gens étaient là. Ils s’en foutent en fait, c’est génial.

Vous êtes aujourd’hui ici, aux Francofolies de Spa, mais que préférez-vous entre une salle de concerts et un festival?

Je n’ai pas de préférence. La seule différence aujourd’hui, c’est qu’il y a des contraintes d’emploi du temps, donc il faut vraiment calculer le spectacle, donc c’est un tout petit peu plus difficile à gérer, on n’a pas trop le temps de s’évader, de déconner avec le public, etc., que quand on est dans une petite salle, on est libre, alors que là non.

Quand avez-vous réellement souhaité que la musique devienne votre métier?

En fait, je ne l’ai pas souhaité, je n’ai pas eu le choix. Un jour, il a fallu que je choisisse entre mon métier et la musique, et comme je gagnais plus d’argent avec la musique, le choix a été facile.

En quarante ans de carrière, vous êtes restez plutôt discret. Est-ce un choix personnel?

Disons que je ne suis pas quelqu’un qui aime sortir dans des endroits à la mode. Je préfère dix fois plus aller dans un bar où il y a des musiciens qui jouent et me mêler à la foule. Donc ce n’est pas que je suis discret, mais je ne vois pas l’intérêt de me montrer dans ce genre d’endroits.

On peut dire que vous avez eu deux carrières: l’une solo, et l’autre avec Jean-Jacques Goldman. Que vous a apporté chacune d’entre elles?

En fait, j’avais déjà une carrière avant de connaître Jean-Jacques, et pendant que je tournais avec Jean-Jacques, je faisais aussi des concerts en solo, surtout à partir de Fredericks-Goldman-Jones, où il y avait à peu près trois ou quatre ans entre chaque tournée, donc j’avais le temps de tourner seul. Toute scène qu’on fait nous apporte énormément… Le fait de tourner avec Jean-Jacques m’a appris comment travailler dans des conditions extrêmes, c’est-à-dire des immenses scènes avec beaucoup de monde et les contraintes qui vont avec, donc j’ai appris à maîtriser ça.

Est-ce qu’il vous arrive de remonter sur scène ensemble?

Jean-Jacques ne fait plus de scènes, donc en dehors des Enfoirés, je ne monte plus sur scène avec lui. Par contre, l’année dernière, en septembre, il m’a fait la surprise de monter sur scène avec moi sur un concert que j’avais fait à Marseille.

Vous avez eu l’occasion de voyager aux Etats-Unis avec le trio Fredericks-Goldman-Jones. Quels souvenirs vous ont marqués à cette époque?

Ce qui nous avait choqués, c’est cette espèce d’attitude de supériorité des Américains quand on arrive. Il faut leur prouver de quoi on est capable, et une fois qu’on l’a fait, ils deviennent gentils. Je me rappelle que dans les deux cas, on n’a pas très bien été accueilli, mais une fois qu’ils ont vu ce que c’était et qu’on était bon, ils nous ont acceptés. C’était marrant, notamment lors du deuxième concert à Los Angeles, lorsqu’ils étaient très froids avec nous, car les musiciens de Supertramp sont venus nous saluer, et tout à coup, on a été respecté parce que des stars de là-bas nous reconnaissaient. C’était bizarre.

A l’heure actuelle, si vous deviez à nouveau collaborer avec un artiste, lequel serait-il?

N’importe qui que j’aime… Sur mon dernier album, j’ai un duo avec Francis Cabrel. J’adore jouer avec Francis. Là, en octobre-novembre, je pars en tournée avec douze autres guitaristes. On sera treize et on va s’éclater pendant deux mois, c’est génial!

 

 

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Michael Jones : '' Trente ans de bonheur avec Goldman ''

Éternel complice de Jean-Jacques Goldman, artiste tout terrain, figure des Enfoirés, Michael Jones donnera un concert gratuit à Saulnes, près de Longwy, ce lundi 13 juillet. Rencontre.

11/07/2015 à 12:00, actualisé à 12:10


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Photo archives Julio PELAEZ

I l y a un an, vous annonciez votre retraite après la sortie de votre ultime album 40-60... Vous voilà aujourd’hui en tournée dans toute la France ! La scène vous manquait ? '' En fait, j’ai décidé d’arrêter de faire des albums. Un disque, c’est un an de travail en huis clos. Aujourd’hui, j’ai envie de me faire plaisir, de partager. Et la scène, la rencontre avec le public, c’est le plaisir absolu. Pour moi, c’est ça la musique, c’est pour cela qu’on fait ça au départ… Pas pour passer à la télé ! ''

Vous continuez à écrire, à composer ? '' Oui mais pour les autres. Je travaille en ce moment sur les albums de deux jeunes filles suisses. J’ai encore pas mal de travail ! ''

Le tube Je te donne , que vous avez coécrit avec Jean-Jacques Goldman, fête ses 30 ans cette année. Qu’est-ce que cette chanson a changé pour vous ? '' Tout ! Je n’aurais jamais existé auprès du grand public sans ce titre. C’est grâce à lui que j’ai pu réaliser la carrière que j’ai faite. Il y a beaucoup de chansons qui me tiennent à cœur mais s’il ne fallait en retenir qu’une, ce serait celle-ci. Elle a été reprise de nombreuses fois et elle est même enseignée à l’école, c’est exceptionnel. ''

Votre nom est étroitement lié à celui de Jean-Jacques Goldman. Est-ce que cela vous inspire une certaine lassitude ? '' Je considère cela comme une chance. J’ai vécu plus de 30 ans de bonheur avec lui, sur scène et ailleurs. On ne peut pas se lasser de ça. Ce sont des souvenirs exceptionnels. Si on ne travaille plus ensemble, c’est parce que lui a arrêté complètement. On se voit aux Enfoirés ou pour une bouffe de temps en temps. Et il est monté sur scène avec moi, à Marseille, l’année dernière. ''

Vous avouez volontiers qu’il '' ne se passe pas un jour '' sans qu’on vous demande s’il va revenir. Vous y croyez ? '' Je crois qu’on regrette tous son absence, le public et tous ceux qui ont travaillé avec lui. Les tournées que nous avons vécues ensemble ont été exceptionnelles, avec un artiste à la portée de tout le monde. On aimerait tous qu’il revienne. Mais la question, c’est : est-ce qu’on sera encore en vie le jour où il décidera de remonter sur scène ? (rires) ''

Vos concerts sont toujours empreints de la fameuse époque Fredericks Goldman Jones… '' Oui, c’est une vraie demande du public… Alors j’y réponds ! Chaque soir, je fais un retour en arrière. Malheureusement, on ne peut pas refaire toutes les chansons mais on propose une sorte de medley. ''

Ce sera le cas à Saulnes, ce lundi ? '' Oui, ce sera une rétrospective, un mélange de ce qui a fait ma carrière depuis 43 ans. Mais uniquement en français ! ''

Vous êtes le plus Français des Gallois. De quel pays vous sentez-vous le plus proche ? '' Je suis Européen ! Mais je suis chez moi en France, à Lyon. Quand je suis arrivé ici, à la fin de mes études, j’avais pris une année sabbatique. Je venais pour m’amuser, pour faire de la musique avec les copains. Et ça dure depuis 43 ans… Le Pays de Galles, j’y retourne pour les balades ou pour le rugby, ce sont des moments d’exception ! ''

À 63 ans, fort d’une carrière aussi riche, y a-t-il encore quelque chose que vous aimeriez accomplir ? '' Ce serait gourmand, non ? ''

Propos recueillis par Laura Maurice.

 

 

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Publié le19 juin 2015 - Corinne Deltombe

Jean Jacques Goldman, une magnifique réussite

Un homme resté simple et libre, un artiste discret et plein d'humilité.

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Un artiste, un homme plein d'humilité

Jean Jacques Goldman, auteur-compositeur et interprète, est l'exemple type d'un modèle de réussite. Peu de personnes peuvent prétendre ne pas connaître une de ses chansons, qu'elles soient chantées par lui, ou par d'autres. Il ne faut surtout pas oublier son dévouement sans faille pour les Enfoirés, non il faut lui reconnaître ça, son talent n'est plus à prouver !

Un homme vivant simplement

Jean Jacques Goldman force l'admiration par sa simplicité, son humilité et son intelligence. Il vit dans la lumière tout en étant dans l'ombre, il est discret et pourtant, on ne peut l'oublier, car rappelé sans cesse à nous, au travers des interprétations de ses titres, repris par de nombreux différents artistes.

Il ne brade pas sa vie personnelle pour une vie finalement superficielle sans profondeur. Il reste fidèle ses convictions, ses valeurs alors que beaucoup aujourd'hui se perdent dans un monde de consommation ou tout va vite. Jean Jacques Goldman avance tranquillement à son rythme, il est libre et profite d'une vie sans artifice.

Cet homme n'est pas qu'un simple artiste c'est une leçon de vie. On oublie souvent que le bonheur se sont de petites choses simples. Pendant que beaucoup de gens s'isolent de plus en plus et se perdent dans le vide, cet homme reste fidèle à ses racines et à la valeur humaine.

En lisant cet article, certains penseront qu'il n'est pas dans le besoin financièrement, et en effet, l'argent est un plus incontestable qu'il possède, mais ça ne suffit pas pour être heureux, le bonheur ne peut être que matériel, il y a aussi la façon de vivre. Jean Jacques Goldman exerce son métier finalement comme n'importe quel anonyme, il n'est pas prisonnier de son statut d'artiste. Il garde les yeux grands ouverts pour continuer à apprécier la vie. Même si beaucoup regrette de ne plus le voir sur scène, il a su trouver son équilibre entre sa vie d'artiste et sa vie personnelle.

Un exemple à suivre

Et si, tout comme cet homme plein de ressources, nous aussi revenions à l'essentiel, et si nous retrouvions l'envie de vivre simplement.

Monsieur Jean Jacques Goldman ne changez rien, restez l'homme plein de vie que vous êtes.

Pour info

A partir de la fin de l'automne 2016, sortira un album auquel Jean Jacques Goldman a participé, pour un spectacle sur la bataille de Normandie chanté par des anonymes.

 

 

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#Jouonsdanslamêmeéquipe : la nouvelle campagne des personnalités marseillaises !

Publié par : Julia -  juin 2015

L’initiative est assez rare pour être soulignée. Les Marseillais se mobilisent contre le harcèlement scolaire, un fléau pour les jeunes générations, grâce à des initiatives positives comme un clip vidéo imaginé à partir d’une chanson du groupe IAM et une campagne de communication animée par les personnalités de la région : acteurs, chanteurs, humoristes, architectes, chefs, etc. relayée sur Twitter avec le hashtag #Jouonsdanslamêmeéquipe.


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Il fallait y penser tout de même… Faire réagir sur un sujet brûlant : le harcèlement et la violence à l’école, en utilisant la médiatisation des personnalités marseillaises. Cette brillante idée qui est en train de faire le tour de la région vient de la direction du collège Notre Dame de France.

Une initiative  du collège Notre Dame de France (6e)

Comme nous l’explique Julien, le CPE du collège : '' Depuis l’année scolaire 2013-2014, nous travaillons activement sur la prévention du harcèlement scolaire au sein de l’établissement. Une formation a été faite à chaque classe de l’établissement. Par la suite, nous avons continué notre prévention en faisant vivre ce sujet, en innovant et en renouvelant nos actions. '' Comment ? Dans un premier temps, les élèves ont réalisé un clip sur la chanson '' Peines profondes '' du groupe IAM, puis ils ont réalisé des maillots floqués d’un logo. Quatre mains reprenant le travail effectué sur la banderole ainsi qu’un slogan : '' Prévenir le harcèlement scolaire #Jouonsdanslamêmeéquipe ''.

Ce maillot, les membres de l’équipe pédagogique le porteront lors des rencontres de football profs – élèves qui se déroulent deux fois dans l’année.

 

 

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Journal Suisse 22.05.2015, 09:06

 

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Michael Jones ce samedi à Martigny pour animer le rendez-vous printanier "Plus belle la Place".

© Louis DASSELBORNE

 

Michael Jones voudrait rejouer avec Jean-Jacques Goldman

Michael Jones, le compagnon guitariste de Jean-Jacques Goldman est en concert gratuit ce samedi, Place Centrale à 21h30 à Martigny. Amoureux de la Suisse romande, des studios Legend de Gland et des vins du Valais, il a accordé une interview lors de son récent passage à Divonne.

Vous êtes souvent de passage en Suisse. Qu’est-ce qui vous lie à notre pays ?

Des projets tels que le radio-crochet '' The Kids’ Voice '' sur la RTS. C’est Paul Sutin, le patron du studio Legend qui a créé cette émission. C’est lui qui l’a mise sur pied. On s’est connu avec la fondation d’Orianne et Phil Collins ''Little Dreams'' qui réalise les rêves d’enfants handicapés. Deux jeunes femmes issues de ''Little Dreams'' travaillent justement actuellement avec moi et le guitariste Florent Bernheim. J’aime aussi les vins du Valais, la Tête de Moine et la fondue moitié-moitié…

Quand avez-vous commencé à sérieusement considérer la musique comme un choix de métier ?

Mais j’ai toujours fait de la musique, dès 5 ans je chantais dans une chorale galloise Urban District Dib Dob Band… On appelait le groupe le Dib Dob Band, c’était plus vendeur. On était à fond dans la musique celtique et la pop de Liverpool. Enormément de musiciens au Pays de Galles sont sous l’influence du rock et de la pop anglaise à l’époque où je commence la musique avec Dave Edmunds, Tom Jones, John Paul Jones et son groupe Led Zep. Puis je quitte le Royaume-Uni pour la Normandie. J’y ai joué dans un groupe dès 1971 avant de rejoindre Thaï Phong, pour remplacer Jean-Jacques Goldman sur scène. En studio, Jean-Jacques et moi avons fait un duo ''Cherry'', une face B. On a continué ensemble jusqu’à la fin de Thaï Phong.

Cette collaboration avec Goldman sur ''Cherry'', ce sont les prémices du tube ''Je te donne''?

Oui, et ce sont les prémices d'une plus grande collaboration avec Jean-Jacques Goldman et Carole Fredericks. ''Je te donne'' a été numéro 1 dans les classements en France et 16e en Suisse et en Suède. La chanson a été écrite à une époque où le racisme montait en France. C’était une chanson sur le métissage, les différences… ça a pris très vite et cette chanson est devenue un standard, au point qu’aujourd’hui les jeunes artistes de ''Génération Goldman'' nous ont dépassés en sortant leur nouvelle version avant que je sorte notre propre réinterprétation en acoustique de la chanson avec Jean-Jacques pour mon album solo '' 40-60 ''.

Votre carrière vous a même fait voyager aux Etats-Unis avec votre trio Fredericks-Goldman-Jones, des souvenirs ont marqué cette époque ?

On a fait deux concerts à Los Angeles et New York et c’était complet, la communauté francophone aux Etats-Unis étant énorme. Le premier album de Fredericks-Goldman-Jones a même été classé dans le Billboard aux Etats-Unis sans promotion, un exploit. On aurait tous envie de rejouer avec Jean-Jacques dans mon groupe. Mais il a arrêté ses projets personnels pour se consacrer aux Restos du Cœur et à l’écriture de chansons pour d’autres. Il me considère comme son frère et m’a écrit une chanson qui me correspond ''Le frère que j’ai choisi'', c’est le talent de Jean-Jacques, d’écrire des chansons pour les autres en se mettant à leur place.

 

 

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Zénith de Caen. Goldman écrit un spectacle sur la Bataille de Normandie


Caen - 01 Mai 2015

 

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Jean-Jacques Goldman travaille à l'écriture d'un spectacle entre le Débarquement et la Libération.
Archives Ouest-France

Goldman et Chamfort travaillent l'écriture d'un spectacle entre le Débarquement et la Libération. Un album est prévu à l'automne et une tournée en 2016 via le Zénith de Caen.

Un an ou presque après les célébrations du 70e anniversaire du Débarquement, et à quelques jours de la date anniversaire de la capitulation nazie, on apprend qu'une fine équipe d'auteurs-compositeurs planche depuis plusieurs semaines sur l'écriture d'un spectacle musical autour de la Bataille de Normandie.

Un hommage aux anonymes

Dans cette équipe, on trouve rien moins que Jean-Jacques Goldman, Alain Chamfort, Yves Duteil, Maxime Leforestier, et semble-t-il aussi Charles Aznavour. L'idée, soulignée par Serge Langeois, directeur du Zénith de Caen, sur RTL : "Rendre hommage à ces anonymes qui ont libéré la France".

Intitulé "Le chant des anonymes", ce spectacle se situera entre le Débarquement et la Libération. C'est à l'incontournable producteur Erick Benzi qu'a été confiée la mise en scène. Attention, a priori les Goldman and co ne monteront pas sur scène. "Ce sont des anonymes qui vont chanter", a confié le parolier de Céline Dion, Jean-Jacques Goldman ou encore Johnny Hallyday à RTL.

L'idée de ce spectacle reviendrait à Sylvain Lebel. Originaire de la région de Caen, ce parolier est connu pour avoir composé "Le géant de papier" chanté par Jean-Jacques Lafon et "Les bétises" pour Sabine Paturel. Il faisait partie l'an passé de la première promotion de l'opération So 14!

Album en 2015 en tournée en 2016

La sortie de cet album est prévue à l'automne. S'ensuivra en 2016 une tournée qui passera par la Normandie (Dieppe, Le Havre...) Le Zénith de Caen est associé à la production de ce projet, mais c'est plutôt au "Mémorial de Caen", indique Sylvain Lebel, que ce spectacle devrait être diffusé. Un casting de "six chanteurs, jeunes pour la plupart" est en cours d'être ficelé. Le show aura quelque chose à voir avec une comédie musicale, mais sera différent de ce genre en bien des points.

 

 

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Publié le 26/02/2015 à 05:00

 

'' Prendre du plaisir sur scène pour le temps qu’il me reste ''

Concert. Michael Jones nous parle de sa soixantaine, de sa
'' retraite '', de rock et de gospel.

 

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Michael Jones chante en français sur son dernier album '' 40 60 '', sorti voici deux ans.
Photo Jean-Marc Collignon

Il habite depuis vingt ans à Saint-Laurent-de-Mure, à côté de l’aéroport Saint-Exupéry. '' Ça fait maintenant quarante-deux ans que je vis en France, mais j’ai conservé l’accent. Je m’applique énormément quand je chante ! ''

S’il écrit ses chansons '' toujours en anglais d’abord '', Michael Jones chante en français, du moins sur son dernier, vraiment dernier album '' 40 60 '', sorti voici deux ans. '' 40 '' pour les quarante ans passés en France, '' 60 '' pour l’âge du capitaine.

La soixantaine, ça vous travaille ?

Pas plus que ça, mais la plus grande partie de ma vie est derrière moi. Je dois faire attention. J’ai déjà eu un accident de ski, un autre de moto cet été. Il y a dix ans, j’ai chopé une saloperie à l’intestin. Je suis un régime très strict. Je serai opéré bientôt. Normalement, le 6 novembre, tout sera fini.

Vous annoncez votre retraite…

… Ma retraite discographique ! Je continue à faire du studio pour les autres, et je ne m’empêche pas de lâcher une chanson sur le net de temps en temps. Mais, fini le CD douze titres ! Un album, c’est une année de travail. Le plaisir, c’est de jouer sur scène. Je ne veux pas perdre le peu de temps qu’il me reste.

Ce temps qui file, vous en êtes conscient…

Physiquement, je m’en rends compte. Beaucoup continuent alors qu’ils n’en sont plus capables. Moi, je m’arrêterai avant. Mais en attendant, je veux prendre tout le plaisir qu’il y a à prendre sur scène.

'' 40 60 '' débute par un vrai solo de '' guitar hero '' : à l’âge de vous faire plaisir, vous n’auriez pas envie de lâcher les chevaux ?

Je le ferai. La tournée '' 40-60 '' est une rétrospective de ma carrière pour remercier les gens. Après, je tourne la page. Reprendre les Beatles, jouer du blues-rock pour le fun, oui, ça me plaît. Je le fais déjà dans des festivals ou dans des bœufs, avec Cabrel notamment, aux rencontres d’Astaffort, ou à l’école à côté de chez moi.

Vous animez souvent des stages et master class…

La musique est quelque chose à transmettre, aux jeunes, au public. Il est impossible de monter sur scène sans ça.

Sans reparler de votre participation à la Star Ac, vous aidez aussi les talents débutants…

Oui, Lily Road, Amélie Daniel ou Mnemosyne, deux sœurs suisses en harmonie. Je participe aussi au '' The Voice '' suisse, avec un vrai suivi derrière. Je donne des petits coups de main…

'' Je te donne '', tiens votre chanson fétiche ! Vous en offrez une jolie version acoustique sur '' 40-60 ''

Merci. La voix gospel à la fin, c’est celle de ma fille Johanna…

Propos recueillis par Marc Dazy

 

 

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Michael Jones: "Ma rencontre avec Jean-Jacques Goldman? Passionnelle!"

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Michael Jones: "Ma rencontre avec Jean-Jacques Goldman? Passionnelle!"
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Et aussi

Le souvenir est marquant, précis. 12 octobre 1991. Le jour est enfin arrivé, nous allons découvrir le plaisir unique des concerts " pour les grands " ! L’arène de Forest National accueille Fredericks-Goldman-Jones, dont l’album ne cesse de tourner dans les enceintes familiales. Les lumières s’éteignent " La nuit t’habille dans mes bras… " C’est parti pour deux heures inoubliables, qui déclencheront notre appétit vorace pour la musique live.

Près de 24 ans plus tard, nous voilà tranquillement attablé avec Michael Jones. Pour parler de sa musique, du Pays de Galles, de sa venue prochaine en Belgique. Et, bien évidemment aussi, de ses aventures avec Carole Fredericks et Jean-Jacques Goldman. Une période qu’il fera revivre sur scène, chez nous, au mois de mars…

En voyage au pays de Galles, on a rencontré des gens particulièrement sympathiques et joviaux, comme le montre aussi le très beau film "Pride"…

Michael Jones :
Il faut absolument que je voie ce film! Je pense que les Gallois sont charmants avec tout le monde, sauf avec les Anglais ! C’est traditionnel. Par exemple, si vous avez une plaque anglaise et que vous posez une question, on va vous répondre en gallois. C’est une animosité héréditaire. Cela date de l’envahissement de la Grande-Bretagne par les Anglo-Saxons. On partage ce point commun avec les Écossais et les Irlandais. Cela dure depuis le neuvième siècle. Nous sommes des Celtes, les Bretons. Ceux qui ont quitté l’Angleterre lors de cette invasion se sont installés en Bretagne. Il n'y a que les Gallois et les Écossais qui ont pu résister.

Comment vous êtes-vous retrouvé en France ?

Michael Jones: Mon père est arrivé en France lors du débarquement en Normandie et a rencontré ma mère. On venait essentiellement en France en vacances. Et un jour, en 1971, on m’a proposé de venir jouer avec des musiciens en France. Je pensais que cela allait durer un an, et ça dure depuis 43 ans !

Vous êtes un autodidacte de la musique?

Michael Jones : Oui J’ai appris à jouer de la guitare tout seul. Par contre, les bases de la musique, je les ai apprises à l’école. Au pays de Galles, c’est très important d’apprendre à chanter. L’instrument national, c’est la voix. Les chorales du pays de Galles sont connues mondialement.

Le blues semble être le terreau principal de votre inspiration…

Michael Jones :
Ma musique est un mélange. La première que j’ai apprise, c’est la musique celte, à l’école. Ensuite, j’ai d’abord été frappé par la pop anglaise et le rock ‘n’ roll, grâce aux Beatles, et ensuite sont arrivés les Rolling Stones et le " Blues boom " anglais. J’ai vécu le blues comme un Britannique. J’ai découvert Clapton, Jeff Beck, etc. Ensuite, bien sûr, BB King, Robert Johnson et d’autres, mais d’abord les Anglais. J’ai pris cette décennie de plein fouet ! J’ai plongé dedans et ça reste pour moi la musique conviviale. Quand on fait une " jam ", on fait du blues ! Par exemple, Francis Cabrel et moi, nous nous sommes trouvés à travers le blues. On partage un duo sur cet album. Le blues nous a réunis.

Comment se passe le processus d’écriture pour vos albums solos ?

Michael Jones : J’écris les textes originaux en anglais. Par contre, les textes en français, je les confie toujours à d’autres car je n’ai pas à la culture nécessaire pour être un bon parolier dans cette langue. J’amène mes idées mais j’ai besoin de quelqu’un qui mette ça ensemble.

" Je te donne " est un peu le morceau emblématique de votre double appartenance linguistique. Vous en proposez une version acoustique sur votre dernier disque, retrouvant ainsi Jean-Jacques Goldman en studio…

Michael Jones :
Sans " Je te donne ", je n’aurais sans doute jamais été chanteur en France. Grâce à cette chanson, j’ai pu faire cette carrière incroyable dont je ne me serais jamais douté ! Malheureusement cette chanson est plus que jamais d’actualité !

Vous allez d’ailleurs rejouer certains de ses morceaux sur scène…

Michael Jones :
Ces chansons, je les ai jouées toute ma vie. Mais je ne les avais jamais mises dans ma tourné solo. Comme il y avait beaucoup de demandes et que j’avais proposé au public de choisir des morceaux via Internet, j’ai posé la question à Jean-Jacques. Il m’a répondu par une phrase de Paul McCartney. A un journaliste qui lui reprochait de reprendre sur scène des chansons des Beatles, il a répondu: " Il y a des milliers de groupes dans le monde qui jouent les chansons des Beatles, pourquoi moi je n’aurais pas le droit ? ".

Comment qualifieriez-vous votre rencontre avec Jean-Jacques Goldman ?

Michael Jones :
Passionnelle ! J’ai rencontré Jean-Jacques dans les années 70. J’avais répondu à une annonce pour entrer dans le groupe " Taï Phong ", pour le remplacer lors d’une tournée. Ensuite, je suis resté dans le groupe et on a eu un vrai coup de foudre musical.

Vous l’avez accompagné sur scène lors de sa carrière solo. Et puis, voilà qu’en 1990 vous apparaissez en haut de l’affiche à ses côtés pour former un trio avec Carole Fredericks. Comment avez-vous réagi lorsqu’il vous a proposé cette aventure ?

Michael Jones :
Jean-Jacques nous a toujours mis en avant. Il n’a jamais été le mec devant avec les autres derrière. Mais quand il m’a parlé de faire cet album à trois, je suis tombé des nues. Carole aussi d'ailleurs ! La naissance du groupe est venue par la nécessité imposée par les chansons car ces nouvelles chansons, il ne pouvait pas les chanter seul. L’association de nos trois voix était évidente pour lui.

Quelle est l’histoire de votre rencontre avec Carole Fredericks ?

Michael Jones :
Cela remonte à la tournée qui suivait l’album " Entre gris clair et gris foncé " (immortalisé par l’album " Traces " sorti en 1989, NDLR). Pour les représentations parisiennes, nous avions un chœur gospel new-yorkais qui nous rejoignait sur scène. Mais, pour la tournée, il était évidemment impossible de déplacer 50 personnes. On a donc demandé aux musiciens laquelle de ces choristes ils nous conseillaient pour nous accompagner sur les routes. Et la réponse unanime a fusé : Carole !

Quels souvenirs gardez-vous d’elle ?

Michael Jones :
Il y a tellement d’images et de souvenirs de Carole. Elle était capable de se mettre en colère avec une force incroyable quand on a la vexait. Mais aussi capable de tant de douceur... Carole faisait tout à fond sans nuance, et c’est ça qui l’a tuée. Je lui rends d'ailleurs hommage lors de cette tournée.

Fin 2002, comment avez-vous réagi à la décision de Jean-Jacques Goldman de se retirer?

Michael Jones :
Le jour même où il m’annonce qu’il arrête, je reçois un coup de fil de la Star Academy ! Je pensais qu’il faudrait que je m’avance tout seul, devant une nouvelle page blanche. Et, en fait, la nouvelle page était là devant moi. C’est probablement ce qui m’a fait accepter tout de suite.

Pour terminer, la question que tout le monde vous pose : Y a-t-il une chance que Jean-Jacques Goldman remonte sur scène ?

Michael Jones :
Il y a toujours une chance même si pour le moment, rien n’est prévu. Je dis dans une chanson que " Parfois le temps fait mentir… ". On doit donc lui donner la possibilité de changer d’avis. Moi, je suis toujours partant. mais cela dépendra du moment où il se décide. Avec plaisir, si je suis toujours en forme!

Entretien : François Colinet

 

 

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Jean-Jacques Goldman : au bout de ses rêves

Jean-François Rousse 11/02/2015 23:14

 

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À 63 ans, l’homme le plus secret du show-biz déléguerait un peu de son pouvoir sur l’oeuvre qu’il anime depuis ses débuts, en 1986 : les Enfoirés. Enquête.

'' N’avez-vous jamais envie de passer le flambeau?'' Lorsque nos confrères du Figaro lui posent la question à propos de son implication dans les Enfoirés, Jean-Jacques Goldman répond sans équivoque: '' Bien sûr. Je suis d’ailleurs le plus vieux dans l’équipe! Les jeunes qui veulent proposer, s’impliquer, sont toujours les bienvenus. Ça vient.'' Nous sommes en 2008 et voilà déjà quatre ans que le très secret Jean-Jacques ne se produit plus sur scène que dans le cadre du grand raout caritatif dont il est à la fois le grand manitou et une évidente locomotive. La tentation de lever le pied est légitime tant ce barnum peut s’avérer épuisant, mais la préretraite n’est pas pour tout de suite. Malgré une rumeur tenace véhiculée en marge des concerts enregistrés cette année à Montpellier, il sera cette année encore ''le parrain des Enfoirés'', comme nous le confirme Michael Jones, son fidèle ami. ''Jean-Jacques Goldman était à l’enregistrement des shows et assurait comme d’habitude. Il a en plus écrit la chanson-phare de cette année, intitulée Toute la vie.'' Prémonitoire? C’est à lui que Coluche, en 1986, peu de temps avant son accident mortel, a demandé d’écrire un hymne pour ces Restos du Coeur qu’il venait de créer. Et c’est lui qui, depuis, fait venir chanteurs et comédiens pour assurer le show. Lui qui les choisit. Sélectionne les chansons, le découpage des titres, l’ordre de passage, la mise en scène. Pour le reste, les arrangements, les contrats notamment, c’est son frère, Robert qui gère. Robert Goldman est en effet l’associé d’Anne Marcassus et de Jean-Yves de Linares, les deux patrons de DMLSTV, producteurs du spectacle. Bref, depuis bientôt trente ans, les Enfoirés, c’est l’affaire du seul Jean-Jacques Goldman qui détient le ''final cut'' sur le show et, malgré ce qu’il affi rmait en 2008, rien n’a changé.


Le 25 novembre dernier étaient mis en vente les billets pour assister à l’une des sept représentations de Sur la route des Enfoirés devant avoir lieu du 21 au 26 janvier au Park & Suites Arena de Montpellier*. Au total, 98000 spectateurs ont pu assister au mégashow de cinq heures qui, après montage, sera réduit de moitié et diffusé en mars pour offrir sans aucun doute à TF1 sa meilleure audience de l’hiver (les dernières éditions rassemblèrent pas loin de 13 millions d’aficionados, soit près de 50% de parts de marché). Ils sont venus, ils sont tous là dans ce qui est, en terme de capacité, la quatrième plus grande salle de spectacle de l’Hexagone. Une quarantaine d’artistes et autant d’habitués pas le moindre nouveau venu pour cette trentième édition, ce qui constitue une curieuse première. Autour du ''parrain'', on notera quelques absences de taille dont la jeune génération représentée par Alizée, retenue sur la tournée Danse avec les stars, et Nolwenn Leroy, en pleine préparation de sa tournée acoustique. Mais les historiques ont répondu présent: on retrouve l’inoxydable Patrick Bruel (le seul à n’avoir loupé aucune édition depuis 1993), Pierre Palmade (après quatre ans d’absence), Mimi Mathy, Liane Foly, Pascal Obispo, MC Solaar (dont l’éclipse discographique et la rétention des anciennes productions commencent à inquiéter), Kad Merad, Michael Jones, Maxime Le Forestier et une trentaine d’autres.

Retrouvez l'article intégral  dans VSD 1955 (du 12 au 18 février 2015)

 

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Goldman à Pra-Loup : "il est d'une incroyable gentillesse" témoigne un habitant

Publié par Valentin Doyen le mar, 10/02/2015 - 15:27

 

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Autant dire qu'ils ont été surpris, les clients de cette résidence hôtelière de Pra Loup, en croisant au petit déjeuner, la personnalité préférée des Français :  Jean-Jacques Goldman !

C'est en effet  la station de la vallée de l'Ubaye que le chanteur auteur-compositeur préféré des Français a choisie pour s’oxygéner, le week-end dernier, après la série d'enregistrement des concerts 2015 des Enfoirés à Montpellier, fin janvier.

"JJG" connaît bien les Alpes du Sud : il est domicilié à Marseille, et son épouse, professeur de math dans un collège Marseillais, a une partie de ses origines dans le Valgaudemar.

On l'avait déjà vu profiter des paysages de la  vallée de la Guisane à Serre Che, ou encore l'été en camping, au bord de Serre-Ponçon.

Avec la discrétion qui le caractérise et celle des clients des mêmes établissements d'ailleurs à son égard, Jean-Jacques Goldman a ainsi profité du week-end très ensoleillé et enneigé  qu'ont offert les Alpes du Sud. Il y reviendra d'ailleurs en mars prochain.

"Il est d'une gentillesse incroyable" témoigne un habitant…

 

 

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15/09/2015

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